Après
le coup de déprime des semaines précédentes, l’atmosphère s’est apaisée, entre
nous, en tout cas. Les circonstances actuelles, douloureuses, incertaines
génèrent des humeurs changeantes. Et puis, il y a eu ces mots que tu m’as lancés
comme un défi au cours d’une conversation : « tu sais, j’ai décidé
d’être heureux et je voudrais que tu le sois aussi ». Le bonheur pour
moi n’a toujours été que de courts moments qui arrivaient entre deux emmerdes.
Malgré des hauts, des bas nous réussissons pourtant à faire face. Je ne
facilite pas toujours les choses et tu comprends, tu me comprends et tu crois
en moi. Tu sais être rassurant en me rappelant que l’on ne peut être en paix
avec soi-même s’il on est constamment en guerre contre tout et tous et surtout
sur des événements que l’on ne peut guère changer. Tu m’invites à prendre la vie
telle qu’elle s’offre à moi et d’affronter les problèmes quand ils se
présentent avant d’envisager et ruminer le pire. Tu es là et quand tu te
tournes vers moi pour me dire « qu’est-ce qui te dit que je pourrais
trouver mieux que toi alors que je t’aime » mon cœur se serre « de
bonheur malgré les emmerdes ».
[+]La
p’tite musique qui va bien avec "You Don't Know Me" Greenskeepersfeaturing DIZ
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