mardi 31 décembre 2024

Repos (bien mérité) pour le jour de l’an

Pas mis le nez dehors en 2024 mais se termine avec une sortie chez des amis pour débuter 2025 avec la bonne et ferme intention d’en profiter… Je souhaite partager cette satisfaction avec le plus grand nombre pendant que je suis encore sobre et comme je ne veux pas finir l’année en mauvais terme avec qui que ce soit j’accepterai volontiers vos excuses 😂😂😂.   

Tous mes meilleurs vœux à toutes et à tous pour cette nouvelle année 


vendredi 27 décembre 2024

Rétrospective 12/2024

Septembre fut un mois difficile. C’est celui que j’avais pourtant choisi pour amorcer - comment dire ? -  “Une sortie de crise”. J’ai cumulé deux emplois. D’abord le préavis de l’ancien et démarrer le nouveau. J’ai survécu à la fatigue et à un état émotionnel qui n’était pas vraiment compatible avec une intégration dans une nouvelle équipe. C’était sans compter sur un fond de motivation tenace et mon aversion à rompre les promesses que je me suis faites. Je me suis remis à lire pour éradiquer le syndrôme “Tsundoku” dont j’étais atteint depuis plusieurs mois. J’ai repris l’étude de mes langues étrangères pour m’apercevoir que, contrairement au vélo, la déperdition de connaissances pouvait être considérable même sur des notions de base. Et surtout, je me suis remis à une activité sportive intensive et régulière ainsi que salvatrice.J’ai surveillé mon alimentation, diminué drastiquement l’alcool. Je l’avoue, j’ai flanché de temps en temps. Mes horaires professionnels de dingues et le fait de ne plus en avoir chez moi, m'ont beaucoup aidé. Les idées noires me suivent avec ténacité comme une ombre ; néanmoins il n’y a pas d’ombre sans lumière, dit-on. À ce stade, tout ça est encore bien ambitieux, un peu fragile bien sûr et me demande souvent de lutter avec moi-même… sans trop m’écouter.


Octobre
marque le début du trimestre qui m’est le plus difficile. L’arrivée de l’hiver, le froid, la Toussaint, les fêtes de fin d’année enfin, tout ce que je n’apprécie pas particulièrement. J’arrive à organiser mon nouvel emploi du temps professionnel avec ma vie privée… privée de tout d’ailleurs. J’ai, certes, pu réaménager mon quotidien pour recouvrer un certain équilibre : cependant, j’oscille entre une solitude “choisie” et “subie”. Les frais des travaux ont marqué une encoche dans mon budget et cela me limite dans mes éventuelles sorties. Mon nouveau travail ne me plait pas, la ville dans laquelle j’habite non plus. Moralement, je me sens mieux. Il y a toujours des relents du passé un peu compliqués à surpasser, des réminiscences nocturnes que j’arrive à maîtriser. Le cerveau ne peut pas gérer deux pensées à la fois alors je remplace une idée par une autre et ça fonctionne plutôt bien tant que je ne suis pas dans la rumination punitive. Le sport, mon jeûne intermittent, le boulot également me font perdre des kilos. Pour relativiser, je dirais que c’est un mois “d’ajustement” pour trouver le bon rythme, les bonnes attitudes, les bonnes pistes, ébaucher quelques plans pour que je sois sur les rails l’année prochaine.


Novembre est un mois que j'exècre néanmoins, il se passe plutôt bien et voit aboutir les résultats de mes efforts et l’atteinte de mes objectifs. J’ai repris des habitudes saines, le contrôle de mon poids, une activité physique stimulante. L’ambiance au boulot est exécrable et bien que je me tienne à l’écart de l’hypocrisie et des faux semblants, cela m’affecte. Mes tentatives pour changer d’emploi n’aboutissent pas pour l’instant aussi, je reste à l'affût. Je mise tout sur moi actuellement, tourné vers une philosophie ou peut-être devrais je dire, une spiritualité plus positiviste. 


Décembre, s'il n’y a pas de gros bouleversements durant les dernières semaines de 2024, je vais les passer tranquillement, au calme et en consolidant les acquis du dernier trimestre. Mine de rien, j'ai eu une sacrée année et je m'en suis pas trop mal tiré. Maintenant, je peux, avec une certaine quiétude miser davantage sur l’année prochaine. En attendant et comme l’écrit Manu Larcenet dans une BD : « Qu’importe les marées, les vents, les assauts ; toujours l’homme avisé s’accordera repos ».


[+]La p'tite musique qui va bien avec Regard - "Ride It"

mardi 24 décembre 2024

Mais où est donc passé l’esprit de Noël ?




Joyeux Noël à toutes et à tous…

 


mercredi 18 décembre 2024

De mon balcon


Le 17 décembre 2024 à 17h05

[+] La p'tite musique qui va bien avec Oscar And The Wolf - “Orange Sky”

mardi 17 décembre 2024

Léon Joseph Florentin Bonnat et l'érotisme néo-classique

On le connait principalement pour le portrait très connu de Victor Hugo mais il est aussi le peintre de ce tableau : “Le Barbier de Suez” qui est absolument magnifique. Il s’en dégage une sensualité rare, une chaleur presque torride d'érotisme… Peut-être n’est-ce que mon imagination, des sensations typiquement gays ou alors une sensibilité particulière aux personnages… il n’en reste pas moins qu’il y a pour moi un côté hypnotisant à regarder cette toile. 




mercredi 4 décembre 2024

Pêle-mêle et humbles considérations politiques à la louche

Durant mes repos en ce début décembre, le boulot a trouvé le moyen de me planter une formation en plein milieu de semaine et toute la journée… franchement, cela aurait pu attendre. Je  m’y attendais, nouveau arrivant dans la “boîte” et célibataire, je travaille les 24, 25, 26 et 27/12. Au moins je n’aurai pas le temps de voir passer les fêtes de Noël. Par chance j’ai le jour de l’an… enfin le 31 en espérant que cela inclut le 1er janvier puisque je n’ai pas mon planning actuellement. Pas un seul cadeau de fait pour l’instant et honnêtement ce n’est pas dans mes priorités. Finalement, l’année se termine comme elle a commencé : très chargée.  Aussi, festoyons si nous le pouvons encore cette année. Malgré l'inquiétante instabilité politique actuelle et des interrogations légitimes sur la façon et à quelle sauce nous allons être mangés l’année prochaine, je vais physiquement et moralement plutôt bien. Allons, autant être lucide, absolument tout est bafoué, piétiné sans complexe, à commencer par notre devise “Liberté, Égalité, Fraternité”.  À chaque nouvelle loi votée c’est une liberté supplémentaire qui disparaît ; l’égalité de nos jours se résume à la moralité de la fable Les Animaux Malades de la Peste de Jean De La Fontaine : “Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir” quant à la fraternité elle est à géométrie variable et doit se conformer au dictat du wokisme ou des groupuscules communautaristes prônant d’être tolérant sans l’être en retour. Comment faire front et être unis dans un tel capharnaüm ? Je ne parle même pas du principe de notre République : “gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple” quand on voit avec quel machiavélisme les élections, référendums sont tordus par les politiques de tous bords selon leurs propres interprétations et à leur avantage à l’encontre des volontés et désirs profonds du peuple. Le peuple n’a ni raison, ni tort : il décide, il est souverain… enfin devrait l’être.  Notre classe politique a toujours raison même quand elle a tort infusant ainsi dans la société ce syndrome du “dernier jour d’un condamné” de V. Hugo où le coupable devient la victime et inversement. Je crois, comme Greg Tabibian, que ce ne peut pas être de l’incompétence et que tout cela est voulu car il bien connu qu’il est toujours bon de diviser pour mieux régner. Il ne s’agit pas d’être pessimiste, juste observateur et réaliste les médias peuvent bien titrer “un saut dans l’inconnu”, pour “le petit” (dont je fais partie), ce n’est pas l’inconnu, car il sait bien intuitivement que quoi qu'il arrive, en France, ce sera toujours lui qui portera la besace. Et plus le “petit” est perdu dans le marasme socio-politique emballé de peur avec un joli ruban rouge d’insécurité (c’est Noël en toute saison après tout), plus il craint de perdre le peu qu’il a déjà et donc est plus facilement influençable.

Pierre-Adrien Sollier - "La Liberte Guidant Le Peuple"

Nos énarques et autres cerveaux à cravate et chaussures cirées seraient bien inspirés de se rendre chez certains Français pour apprendre à gérer un budget. Nos politiques qui ont toujours le verbe haut et la justification adéquate s’imaginent relancer la croissance et la compétitivité alors que nous avons un taux de prélèvement obligatoire de 48 % : le plus élevé au monde… et ils cherchent encore avec une assiduité qui force l’admiration, comment nous en gratter encore davantage. Il ne faut pas être sorti de polytechnique pour savoir que dans ces conditions il est difficile de se considérer comme un grand pays quand méticuleusement ils ont laissé le tissu économique se détricoter tranquillement pendant des décennies : industrie, agriculture, recherche, artisans, PME, PMI, etc.  De sacrés cerveaux cela va sans dire !!! Il y a bien eu les gilets jaunes dont la contestation a été habillement étouffé dans l’oeuf par l’intertion d’éléments perturbateurs venant desservir la cause en recyclant les vieilles méthodes mais toujours efficaces à la Charles Pasqua. Il nous faudrait bien un nouveau 1789 quand même, non ?! Faire tomber quelques-unes de ces têtes de parvenus de gauche comme de droite qui n’ont jamais tenu un marteau de leur vie, qui une fois dans les sphères politiques ne touchent plus une poignée de porte et surtout qui ne servent en rien l’intérêt des Français alors que nous les faisons vivre grassement. Commençons par notre Président qui se prend pour un monarque ; lui qui a l'outrecuidance de vouloir remettre à l’Archevêque les clés de Notre Dame de Paris suite à sa rénovation ignorant totalement le principe de séparation de l’Eglise et de l'État.  De toute façon, on ne peut bien compter que sur soi-même et nous verrons bien, comme le dit Edgar Morin si : “Du chaos naît l'espoir dans la révolte des peuples”.