C’est étrange comme ce qui est vécu dans la vie peut amener vers certains films. Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas posé pour mâter quelque chose qui retienne mon attention. Je me souvenais vaguement d’avoir entendu parler, presque de manière confidentielle, de The Whale de Darren Aronofsky. Cela m’a vraiment captivé, comme quelques années plus tôt, l'avait fait d’autres de ses films comme The Wrestler ou Requiem for a Dream adapté d'un roman d'un auteur que j'apprécie beaucoup : Hubert Selby Jr.. Dans ce huit clos, Brendan Fraser (presque méconnaissable) est vraiment remarquable et j’ai trouvé l’interprétation de Hong Chau tout à fait juste. C’est un film, avec bien sûr les éternels bons sentiments américains mais qui reste très émouvant et touchant. Mention spécial pour la musique de Rob Simonsen sensible, discrète et malgré tout très puissante tout au cours du long métrage.
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