dimanche 7 novembre 2010

Erreur 554

Je t'écris ces quelques mots car je sais que tu ne viendras pas ici pour les lire. Tu me manques, il y a-t-il un jour où je ne pense pas à toi ? Je ne crois pas. Tu sais, ça ne vas pas ici, et quand c'est ainsi, je fais des bêtises, pour combler le vide que tu m’as laissé. C'est dans ces moments où j'essaie de toutes mes forces de t'oublier que tu es le plus présent. Quand les choses ne tournent plus rond, j’essaie de me rapprocher de ce que je connais le mieux, et ce que je connais le mieux c'est toi. Rien est simple et je ne sais que faire de cet Amour si inconfortable. Je passe mes nuits avec toi mais je me réveille en compagnie de la solitude, je m’endors avec ton absence, il me semble passer mes journées à t’attendre, je crois que je t'aime encore ; oui, ce doit être ça je t‘aime encore ; et quand dans ma tête me revient l’air de cette chanson, je sais que je t'aime toujours

[+]La petite musique qui va bien Devics "Just One Breath"

6 commentaires:

M...aël a dit…

Je ne suis pas dans cette situation mais ces mots résonnent. Simples, bruts, sincères.

singulier(s) a dit…

M...aël ici ? et avec un lien ?
c'est vrai que tu t'y entends aussi pour faire résonner les mots... toujours

[Nicolas] a dit…

@M...aël : les tiens aussi

@ singulier(s) : jaloux

Flavien a dit…

Je n'arrive que maintenant sur ton blog. C'est très beau ce billet. "Je me réveille en compagnie de la solitude, je m'endors avec ton absence", ça me rappelle des souvenirs, je mets si longtemps à me remettre d'une rupture. Tu as raison, Il ne doit pas te lire, pour que l'humain, qui est ainsi fait, puisse un jour revivre autre chose avec quelqu'un d'autre.

Peio a dit…

Très joli billet, j'aime beaucoup.

[Nicolas] a dit…

@ Peio : merci ;-)