Les photos me font horreur, je crois même qu'elles me font peur ! Je ne sais pas vraiment d'où ça vient, peut-être le fait de me retrouver coucher sur du papier glacé pour l'éternité (enfin presque, il ne faut tout de même pas exagérer). Même tout petit, je fuyais les objectifs. Alors, je ne vous dis pas comme j'ai galéré pour trouver une photo de moi minot. D'ailleurs, j'ai du demander à ma Mère, qui elle non plus n'en a pas des masses, peut-être 4 ou 5 tout au plus. Elle m’a déniché celle-là de je ne sais où, un album caché certainement. Voilà... c’est moi à 4 mois !!
dimanche 27 janvier 2008
vendredi 25 janvier 2008
mercredi 23 janvier 2008
Réminiscence
- Sire, la récolte est empoisonnée par un champignon, l’ergot de seigle. Ceux qui en mangeront deviendront fous.
- Et bien, il faut avertir les gens afin qu’ils n’en consomment pas, dit le roi.
- Mais, répond le ministre, il n’y a rien d’autre à manger et si on ne leur donne pas cette nourriture contaminée, ils mourront de faim et ils se révolteront.
- Et bien, qu’on leur donne cette récolte empoisonnée et nous, nous puiserons dans la réserve de céréales saines, dit le roi.
- Mais, répond de nouveau le ministre, si tout le monde est fou et que nous seuls restons sains d’esprit, alors c’est nous qui serons pris pour des fous.
Le roi réfléchit et concède :
mercredi 16 janvier 2008
Au bord du Lac je me suis assis et j'ai pensé à toi
Tu portes le nom d’un ange et c’est pourtant en enfer que j’ai bien cru vivre parfois durant les trois ans partagés avec toi. A présent, tu réapparais ponctuellement dans ma vie, dans les moments où je m’y attends le moins mais qui me font le plus de bien. Aujourd’hui, j’ai ouvert le mail que tu m’as envoyé il y a quelques jours. J’ai lu tes mots lentement pour ne pas arriver trop vite à la fin. Tu me parles de ta vie, du temps qui a passé, de ton travail, de tes envies. Moi, je t’ai répondu des banalités sur une année tumultueuse et une rupture douloureuse qui n’est pas sans me rappeler notre passé. Une piqûre de rappelle sur notre histoire que je voulais sans fin mais dont nos différences avaient déjà posées les limites. Il me reste si peu de toi, même pas une photo mais encore l’odeur de ta peau, nos nuits ton corps contre le mien, la chaleur de ton torse contre mon dos... et ces pétales séchées des fleurs que tu m’as envoyées. Nous ne nous sommes pas revus ; je ne sais pas, si comme le reste, il faut le regretter. Tu me manques encore, il n’est pas rare que tu occupes mes pensées avec la même intensité que tu as marqué ma vie. Je suis heureux que parfois je traverse les tiennes. Je crois que tu m’as appris ce qu’était « Aimer », finalement de la plus belle façon qu’il soit, puisque dans mon coeur tu es resté.
mardi 15 janvier 2008
Noctambule
Hypnose
Ephémère
[+]La petite musique qui va bien "Who Am I" - Peace Orchestra